J'étais rentré de l'école et ma mère était sortie. La sonnette avait sonné - c’était un livreur avec un colis pour maman. Il m'a laissée signer. C'était une boîte lourde, remplie d'objets qui se déplaçaient lorsque la boîte était bougée. J'étais curieuse et ouvris la boîte, trouvant une variété de «matériel» - menottes, godes, fers pour les jambes et harnais en cuir.

Ne sachant pas à quoi servaient certains de ces trucs, j'ai regardé la photo avec d'autres trucs et en ai mis deux et deux ensemble. J'ai couru à l'étage avec la boîte de produits et jeté le contenu sur le lit.

Je commençais à ressentir des remous entre mes jambes, plus forts que ce que j'avais ressenti récemment, et, comme d'habitude, je posais ma main entre eux et me caressais la chatte, ne sachant pas vraiment ce que je faisais, mais appréciant le confort.

Il y avait les dispositifs mentionnés, ainsi qu'un manuel d'instructions, sur l'utilisation des menottes, des fers pour les jambes et le harnais, avec des photos montrant leur utilisation! Je suis presque venu dans mon short! C'était la première fois que je voyais des femmes nues sur des photos nues, et en esclavage. Le manuel montrait une jolie blonde qui se faisait bondir à l'aide du harnais (ceinture de chasteté à verrouillage), des menottes et des fers pour les jambes. Mes mains tremblaient lorsque je tournais chaque page alors qu'elle progressait plus loin de la liberté.

A ce moment, j'ai décidé de faire ce qu'elle faisait! Je me suis déshabillée, assise sur le lit et commençai à étaler tous les appareils dont j'avais besoin.

Tout d'abord, j'ai dû installer des piles dans le gode. Ensuite, je devais rassembler les clés des fers, des menottes et de la ceinture de chasteté. Je les mets sur la table de nuit. Le modèle de bondage lui avait d'abord mis ses chevilles dans des fers pour les attacher à un lit. J'ai fait la même chose. Je glissai la jambe de fer autour de ma cheville droite et la refermai à une râpe métallique frissonnante!

La f o r c e du son m'a assommée et a enflammé ma chatte. J'ai essayé de glisser le poignet de ma cheville, mais ça n'a pas marché. Je sécurisai le «double verrou» sur la cheville, puis passai l'autre extrémité des fers aux jambes autour d'un montant de lit et posai le brassard autour de ma cheville gauche. J'ai essayé de retirer le brassard, mais il ne s'en allait pas. Je tremblais quand j'ai sécurisé le double verrou.

Le frisson que j'ai ressenti à ce moment est toujours indescriptible. Je me suis allongée sur mon lit, les pieds dans les fers, attachée à mon lit, me débattant, tirant pour me libérer, mais en vain. Ma chatte était dégoulinante et mes seins gonflés alors que je tirais sans pouvoir me libérer. Je suis tout de suite revenue dans le manuel d'instructions pour continuer mon voyage de bondage.

Ensuite, le modèle était en train de fixer la ceinture de chasteté autour de sa taille. J'ai ramassé la ceinture en cuir et l'ai examinée. C'était lourd, avec des crampons et des anneaux sur les côtés. Sur le devant, il y avait une lanière de cuir perforée comme une ceinture. La ceinture était fixée à l’arrière de la ceinture par une autre boucle, fixée perpendiculairement à la ceinture.

Tenir la ceinture de chasteté me faisait vraiment mal au cœur - je savais exactement à quoi cela servait.

Je passai la ceinture autour de ma taille et passai l'extrémité libre dans la boucle devant moi jusqu'à ce qu'elle soit bien ajustée à ma taille. J'ai ensuite tourné la ceinture de manière à ce que la boucle soit dans le bas de mon dos et la ceinture à l'entrejambe, comme on l'appelait, était juste devant ma chatte.

J'ai ensuite pris son gode et l'a inséré dans ma chatte tout en l'allumant. Je n'avais jamais utilisé de gode auparavant et je savais que ma copine, Jenny, l'avait fait, alors j'ai décidé de l'essayer maintenant.

Je tenais le gode dans mes mains et me sentais comme une femme sur le point de faire l'amour pour la première fois. Je l'ai pressée contre ma chatte et, comme j'étais tellement mouillée, je l'ai simplement enfoncée dans ma chatte. J'étais bien au chaud, mais le plaisir que je ressentais était immense. Alors que je continuais à pousser le gode en moi, je tirais mes jambes contre les poignets. Au moment où le gode a été complètement inséré, je suis venu au moins deux fois, je transpirais et je me sentais si puissante - comme si je renaissais dans une bête sexuelle qui devait être restreinte.

Avec le gode complètement en moi, j'ai fait de mon mieux pour attacher la s a n g le d'entrejambe à la boucle au bas de mon dos. Chacune des boucles de la ceinture de chasteté était munie d'un petit cadenas, qui passait par une petite boucle au bout de la goupille de chaque boucle.

Enfin, j(ai posé les cadenas sur la ceinture de chasteté, en la verrouillant à la taille et en attachant les menottes à la ceinture, et en attachant la s a n g le de la fourche pour que je ne puisse pas retirer le gode. Puis j'ai attaché les menottes les mains derrière le dos, bien attachées à la ceinture afin que je ne puisse pas me pencher devant elle. La dernière photo d'elle dans le manuel était celle-ci couchée sur le côté, en pleine servitude, attendant que son amant la libère.

J'ai fait la même chose. J'ai attaché les menottes à la ceinture, la s a n g le d'entrejambe en place, puis j'ai tendu la main derrière moi et j'ai ouvert les menottes. Pendant tout ce temps, j’avais eu deux autres orgasmes et commençais à ressentir un nouvel assaut. Je plaçai ma main droite derrière mon dos et cherchai le brassard avec ma main gauche. Quand je me suis sentie en place, j'ai lentement fermé le poignet autour de mon poignet droit jusqu'à ce que je me sente à l'aise. Je tirai ma main droite et sentis la ceinture de chasteté tirer sur le gode, mais ma main ne voulait pas se libérer. J'ai eu du mal à atteindre le brassard restant avec ma main droite afin de pouvoir sécuriser ma main gauche. Quand je l'ai eu en place dans ma main droite, j'ai placé ma main gauche dans le brassard jusqu'à ce que mon poignet soit confortablement en place, puis j'ai lentement fermé le brassard avec ma main droite, jusqu'à ce qu'il soit bien en place.

"Qu'est-ce que tout ce bruit est là?" La porte de ma chambre s'ouvrit.

Oh mon Dieu! Ma mère était rentrée à la maison ...

Maman m'a trouvé enchaînée à mon lit, les mains menottées derrière moi, les menottes attachées à une ceinture de chasteté et un gode en moi. Je bougeais sauvagement sur le point d'avoir un autre orgasme.

"Qu'est-ce que tu fais ?!" Maman a pleuré. Elle avait un regard surpris sur son visage.

J'ai essayé de m'éloigner, d'abord dans la honte et l'embarras, puis dans la peur de ce qui pourrait arriver, mais je n'allais nulle part.

"Où as-tu eu ce truc?" Elle remarqua le paquet ouvert sur le sol. "Vous avez ouvert mon courrier ... vous allez devoir payer le prix pour être un chat curieux." Cela dit, maman saisit les clés des menottes sur la table de nuit, les menottes et les resserra un ou deux autres clics, puis fixa les doubles serrures.

"Voyons si tu t'amuses maintenant!" elle a dit, avec un regard féroce sur son visage. "Et tu attends juste que ton père entende parler de ça ..."

J'étais m o r t ifié. Elle resserra les menottes, prit les clés et sortit de ma chambre en me laissant menottée. L'excitation diminuait rapidement et je voulais me perdre, mais je ne pouvais pas. Maintenant, je n'étais plus qu'un prisonnier en difficulté de mon lit.

Quelques heures plus tard, les piles du gode étaient épuisées et je commençais à avoir les bras étroits de ma position. Ma mère est revenue en haut avec une mini jupe en cuir, un bustier et des talons aiguilles.

"J'ai changé d'avis, je ne le dirai pas à ton père. En fait, nous garderons notre petit secret."

Maman m'a ensuite racontée comment elle était tombée amoureuse du bondage et comment, au fil des années, elle avait acquis une collection d'objets pour son plaisir. Elle a également dit que papa les avait souvent utilisées sur elle et l'avait gardée dans le plaisir de du bondage.

Kristine

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